- Eh ! Qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages.
Fin du poème en prose "L'étranger", Charles Baudelaire in Le spleen de Paris.
Alors voilà, je vais me laisser porter par un de ces nuages pour aller là-bas pendant quelques jours... Entrez quand vous voulez, c'est ouvert. Ne faites pas trop attention s'il y a un peu de désordre. Je déteste les maisons trop bien rangées. Elles me rappellent trop la clinique. Elles n'ont pas d'âme. Elle doit être quelque part tout en haut dans un placard, bien à sa place derrière quelques boîtes oubliées...
Portez-vous bien. Bis bald. Hasta pronto. A bientôt.