Désolé... Vraiment désolé. J'avais pourtant bien regardé partout. Mais ce jour-là, il n'y en avait pas. Pas de biche ni de cerf ni de chevreuil, pas même un sanglier ! Par cette chaleur, ils doivent être baugés quelque part, sans doute pas très loin. Je vous assure, il y en a, j'en vois de temps en temps.
Je me demande vraiment comment font certains pour les saisir là, juste dans leur champ de vision. On a l'impression qu'ils sautent dans leur tableau, juste au point focal. Je n'aurai donc jamais cette chance !!!
Mais chut.... Laissez-vous surprendre un peu par ce chemin où la lumière crue joue avec l'ombre obscure. Avancez doucement quelques centaines de mètres, jusqu'au bout là-bas. Je suis sûr qu'ils sont là et si vous ne les voyez pas, soyez certain(e) que des yeux curieux et craintifs vous regardent.
Chut, j'admire !
RépondreSupprimerchut alors...
Supprimerle secret des photographes animaliers est simple: la patience! Ils attendent des heures, parfois des journées entières planqués sous un dispositif de camouflage que l'instant tant convoité se présente. Lorsque je me balade dans les bois, je suis comme vous: je ne vois personne, mais je sais que de nombreuses grosses bêtes, bien dissimulées, me surveillent. J'ai cependant le souvenir, il y a deux ou trois ans, d'avoir dérangé un gros sanglier qui dormait en travers de mon sentier habituel. Il s'est levé et s'est éloigné en grommelant.
RépondreSupprimerComme d'habitude, le rendu est parfait, et on se croirait en pleins bois! Ici, ce matin, fraîcheur et grisaille humide; bon dimanche!
C'est la chienne qui a dérangé un gros sanglier l'an dernier. Comme elle est assez craintive, je n'ai pas eu de mal à la rappeler.
SupprimerAh quelle douce fraîcheur...et j'aime le mouvement des arbres, j'allais dire que je trouve que ça a quelque chose d'uterin mais je ne sais pas si je vais oser l'écrire...
RépondreSupprimerQuant aux sangliers...qu'ils restent où ils sont, chacun pour soi et dieu pour tous.
Une figure de style que le Quillet (qui a réponse à beaucoup de mes maux) appelle une prétérition. Tu te rends compte ? Mais jusqu'où vas-tu la chercher ? Rien ne t'arrête, isn't ?
SupprimerPas de sujet animalier à ce moment.....on imagine se perdre en silence dans les frondaisons et penser qu'ils ne sont pas loin.....
RépondreSupprimerBonne journée
Ils ne sont effectivement pas loin car la région est très giboyeuse.
SupprimerUn chemin extraordinaire , voire féérique où l'on souhaite rencontrer les êtres de cette forêt . Le rêve aidant , la promenade est divine!
RépondreSupprimerBelle soirée Marcel
Vu sous un certain angle, il peut paraître extraordinaire mais j'y ai laissé beaucoup de sueur il y a quelques années car tout au bout là-bas j'avais ma coupe affouagère.
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