Rembobinez le film de votre vie jusqu'à vos années collège et souvenez-vous : "Figurez-vous une île rougeâtre et d'aspect farouche : le phare à une pointe, à l'autre une vieille tour génoise où, de mon temps, logeait un aigle. En bas, au bord de l'eau, un lazaret en ruine, envahi de partout par les herbes ; puis des ravins, des maquis, de grandes roches, quelques chèvres sauvages, de petits chevaux corses gambadant la crinière au vent ; enfin là-haut, tout en haut..."
Le phare des Sanguinaires. A Daudet
A Sartène, une maison à mâchicoulis rappelle que par le passé, certains visiteurs étaient reçus avec des projectiles et / ou une douche brûlante.
En montant au col de Bavella, une rencontre insolite dans un enclos.
Sur la fin du séjour, la Corse fut en vigilance orange et les falaises de Bonifacio, en face de la Sardaigne avaient un aspect austère, sauvage.
J'aime tout particulièrement la maison aux mâchicoulis... qui pourrait tout aussi bien être une latrine!
RépondreSupprimerJ'avais d'abord pensé aux latrines mais il y a une porte dessous et pas de trace de réaction chimique sur le mur et puis je me suis renseigné auprès de quelqu'un.
SupprimerUn beau voyage grâce à tes croquis ! Parfois , les rencontres ne sont pas dans les enclos mais sur les routes!
RépondreSupprimerBelle journée Marcel
Des chèvres sur les petites routes de montagne mais pas de cochon cette fois.
SupprimerQue c'est joli ces dessins fait en balade, comme des photos mais en plus long
RépondreSupprimerC'est ma manière de prendre des photos et c'est vrai que le temps de pose est parfois assez long.
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