La ville d'Ushuaia, en s'agrandissant, "mange" petit à petit la colline au pied de laquelle on a commencé à la construire. On enlève un bout de forêt et on construit des maisons.
L'hôtel où j'étais, est situé tout en haut et offre une vue panoramique sur le "Canal Beagle". C'est un bout de mer qui remonte depuis la région est du Cap Horn sur environ 240 kilomètres et qui rejoint le Pacifique à l'Ouest. Il sert de frontière. De l'autre côté, des monts appartenant au Chili ; au milieu des langues de terre, des îlots, des rochers parfois peuplés d'otaries qui se prennent du bon temps et qu'on peut approcher en bateau. Aucun signe humain. C'est sauvage, superbe, grandiose et doit le rester...
Très belle aquarelle qui prend tout son sens grâce à tes explications. Cela doit merveilleux d'approcher des otaries sauvages .
RépondreSupprimerComme tu le dis " c'est sauvage, c'est superbe et doit le rester ."
Belle journée Marcel
Une sortie en bateau a permis l'approche des otaries qui sont des animaux grégaires avec des mâles très jaloux et leurs harems. Elles semblent assez placides et joueuses mais je crois qu'il ne faut pas trop les déranger.
SupprimerVoici une jolie aquarelle, d'une vue de rêve ... oui, ces lieux sauvages et magnifiques doivent le rester ...non à l'immense tristesse du bétonnage intensif.
RépondreSupprimerJe pense qu'ils le resteront : beaucoup d'espaces transformés en parcs naturels et les lieux sont assez inhospitaliers.
Supprimerune bien belle vue, dis donc!et les otaries en prime, belle rencontre....la cupidité de certains est de la folie pure , on peut toujours epérer que la nature soit respectée mais tu parle de constructions invasive, alors....?????
RépondreSupprimer"Invasive" est peut-être exagéré. On construit certes mais la ville ne compte que quelques milliers de personnes et ensuite sur des centaines de kilomètres carrés il n'y a rien sans compter que beaucoup d'espace est en parc national.
Supprimeril manque des S,j'ai des soucis avec cette touche de mon clavier et ne me suis pas relue, désolée!
RépondreSupprimerAu vu de la progression de l'hortaugraf actuelle, un sertin nombre de touch serons bienteau supprimaient, sé pa la pène de te désolait.
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