Avec la vague verte de l'écologie est apparu le concept de l'empreinte carbone d'un produit pour en (re)venir à l'idée que des biens produits et consommés sur place diminuent drastiquement ladite empreinte avec en corollaire une meilleure qualité car non bidouillée par l'industrie alimentaire.
On y fait différentes farines que des gens viennent acheter sur place et des boulangers vendent des pains succulents. Une petite économie locale est ressortie de terre. Cela ressemble à un conte.
J'ai eu l'occasion de visiter ce moulin et ce qui m'a impressionné, c'est la patience et l'ingéniosité humaine accumulées au fil du temps pour venir à bout des multiples problèmes techniques et réussir avec des matériaux grossiers et des réglages d'horloger à obtenir cette merveilleuse poudre plus ou moins grisâtre appelée farine qui depuis la nuit des temps est à la base de l'alimentation humaine. Respect et chapeau bas.
J'espère que, cette fois, aucun problème technique n'empêchera mon commentaire de vous parvenir. Toutes mes tentatives pour votre précédent articles sont restées vaines... J'adore ces Causses, leur ambiance, la nature qui s'y épanouit et l'architecture si particulière de leur habitat; bref, tout ce que vos trois articles restituent si bien!
RépondreSupprimerC'est une autre France bien loin de l'habituelle avec son lot de haines et d'assassinats qu'on trouve dans les grandes cités dans lesquelles le mot d'ordre est méfiance. Une France que j'aime et qui heureusement occupe toujours une grande majorité du territoire.
RépondreSupprimerUne superbe initiative par ces gens qui ont envie de faire et non de rester les bras croisés. Reprendre un vieux moulin est extraordinaire et faire tourner ses ailes avec l'aide du seul vent est merveilleux et finalement tout banal...Mais que cela doit être difficile pour lancer la mécanique administrative, et surtout après trouver des clients en nombre pour permettre de faire subsister cette belle aventure.. Heureusement, il y en a pas mal, quand-même , à travers notre pays.. Philippe Bertrand dans ses carnets de campagne sur France Inter en parle tous les jours, mais c'est hélas noyé dans le flot continu des mauvaises nouvelles.
RépondreSupprimerMerci pour ce partage et pour cette belle aquarelle..
Bonne journée
paco
Le projet fonctionne parce qu'il est consensuel. Des études de marchés ont forcément été faites.
SupprimerJe n'écoute plus, je boycotte France-Inter depuis deux ou trois ans alors que cela a été depuis toujours ma radio préférée. Je ne supporte plus depuis que Mermet qui malgré des émissions insupportables a été évincé comme un malpropre. Mais quel homme de radio !! Et puis Philippe Meyer et parti aussi...
Il fut une époque où je ne ratais aucune des émissions de Mermet, puis son manichéisme a fini par m'insupporter. Mais je garde le souvenir de bons moments passés à son écoute. Il me semble qu'il avait été évincé une première fois, puis rappelé à la demande des auditeurs. Je savourais aussi les "chroniques matudinales" de Philippe Meyer, hélas disparu de l'antenne. France-Inter reste ma seule source d'information radiodiffusées, entre 7 et 8h le matin. La TV, que je ne regardais d'ailleurs que très peu, est débranchée depuis maintenant un mois.
SupprimerJe suis branché sur France Musique, des émissions variées, des gens compétents et des infos réduites à leur minimum essentiel.
SupprimerJe suis justement en train d'écouter JS Bach sur France-Musique. Un moment que j'essaye de ne jamais manquer chaque dimanche.
SupprimerTrès belle initiative la revalorisation de ce beau moulin à vent que tu as si superbement aquarellé. Il serait chouette que d'autres régions se réveillent aussi à se remettre en valeur naturelle. Merci beaucoup pour ce beau partage très intéressant.
RépondreSupprimerMais elles se réveillent et les circuits courts auxquels j'adhère complètement commencent à se répandre tout doucement.
SupprimerTon aquarelle est magnifique et tellement vivante .J'adore les moulins et leur histoire , que ce soit moulin à huile, à eau ou à vent!
RépondreSupprimerPas très loin de chez moi, il y a un moulin à vent que la famille " protège" , le meunier l'entretient avec amour et sa farine est d'une finesse incomparable. J'y emmène Nolwenn et il a la gentillesse de lui expliquer le mécanisme .
Comme tu le dis , la patience, le savoir, l'ingéniosité et l'amour de notre patrimoine , sont (re)valorisés et les chantiers se multiplient . C'est beau!
Dans le Finistère , j'ai visité le moulin à marée du Hénan , un sauvetage grâce à la commune! Quel superbe travail!
Merci pour ce bel article !
Bon après midi Marcel
De belles initiatives locales impactent doucement la société pour lutter contre la malbouffe. Puisse un jour un gouvernement prendre le relai !
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