Il pleuvait très fort ce jour là à Gaïa, au bord du fleuve Douro, en face de la ville de Porto. Image fugace assez insolite de cet homme tout seul qui semblait méditer sur un banc, indifférent à tout. A quoi pensait-il ? Peut-être au temps qui passe, immuable comme l'eau qui glisse devant lui.
J'aime les gens un peu rêveurs, un peu décalés... Ils apportent un rayon de soleil dans la grisaille d'un quotidien qui semble parfois désespérant.