J'lui ai dit de la Madone
Tu es le portrait
Le Bon Dieu me le pardonne
C'était un peu vrai
Tonton Georges, déjà de son vivant, y en avait qui le critiquaient parce qu'il prononçait des "gros mots" ; certains même le disaient "mysogine".
Qu'en serait-il aujourd'hui avec cette bien-pensance intrusive et inquisitoriale venue tout droit d'Outre - Atlantique via l'Angleterre et qui par métastases essaie de s'insinuer dans le pays pour nous distiller un prêt-à-penser aussi insipide que pudibond. BEURK !!
Jadorais tonton Georges et l'adore encore, il aura été un artiste unique. Merci pour cette belle illustration et la vidéo. Si ce maître des mots n'avait pas existé, il n'aurait pu être inventé, il était trop bien et lucide. Il est innoubliable !Jaime ses citations. Merci pour ce partage. Pour le dernier paragraphe mon BEURK aussi...Belle soirée à toi.
On ne l'entend pas assez ou alors on nous ressasse toujours les mêmes chansons comme s'il n'y avait que celles-là.
SupprimerJ'adore Brassens et ses chansons crues dans leur réalité avec beaucoup de poésie. Eh oui , c'est bien regrettable cette mode du copier-coller qui enlève toute liberté à nos pensées et nos paroles.
RépondreSupprimerBelle journée Marcel
Oui, ce qui est en train de s'installer n'est pas très propre.
SupprimerEh oui , quand on entend les chansons actuelle, rien à voir.
RépondreSupprimerTon aquarelle par contre elle, elle n'est pas insipide ni pudibonde , elle est bien réelle , bien réussie
Encore une fois bravo Marcel
Bonne soirée Yvette et merci pour ton commentaire.
Supprimerau repos ou en alerte en train de, mettons, surveiller son troupeau?
RépondreSupprimerJe ne saurais dire autrement que toi ce que m'inspire le "tous pareils",il me semble néanmoins que dans les siècles passés,les sociétés ont été pareillement "bien pensantes" et intrusives,mais internet n'existait pas et la mondialisation non plus,nous devons assumer ces poids là en plus ou nous en dissocier,ce qui parait difficile.Les artistes, Marcel, nous aident à garder l'oeil et l'esprit ouverts et à rester en alerte,çà fait 2 fois ici que j'utilise l'expression,restons conscients de qui nous sommes et merci à toi qui nous donnes du beau à voir et du grain à moudre...
Internet devrait comme d'autres médias démultiplier les voix et proposer autre chose que des pensées formatées. L'évolution des techniques semble être au service de ce nivellement et peu perméable à la variété des points de vue, à une certaine liberté de langage. Que quelqu'un sorte du rang et il est traîné au pilori sur la place publique par les guignols de la bien-pensance suivis en cela par ceux planqués derrière leurs pseudos sur les réseaux sociaux. Reiser le disait déjà : "nous vivons une époque formidable".
SupprimerQuel plaisir de réécouter Brassens! C'est dans la "Mauvaise réputation" que je me reconnais le mieux.
RépondreSupprimerJe pense qu'ils ne faut pas cantonner les Américains dans l'image que nous donne d'eux leur fraction la plus détestable, celle que nous montre les médias, et qui a élu leur actuel président. C'est un peu comme si on réduisait l'Iatlie aux électeurs de Salvini, ou la France aux lepénistes.
Pour croquer les fruits défendus de votre Madone, il y aura de nombreuses épaisseurs à retirer; espérons que leur saveur récompenser celui qui s'en donnera le mal...
Les plus vilaines enveloppes cachent souvent les plus beaux fruits.
SupprimerC'est une bien belle chanson, et un beau tableau aussi
RépondreSupprimerune belle aquarelle comme j'aime, qui raconte une histoire tout comme cette chanson de Brassens que je n'avais plus écouté depuis longtemps. heureuse que ce bouquet sans dessin mais plein de couleurs te plaise, un moment de folie avant de revenir à des sujets plus "calmes" ...bises.celine
RépondreSupprimerBrassens n'est malheureusement plus trop à l'ordre du jour... Merci d'être passée et belle journée.
Supprimer