Et voilà une nouvelle série d'enveloppes reçues ces dernières semaines. Le thème floral commence à s'élargir pour devenir, soyons fous, botanique.
Une bourrache venant de Nantes et une variété de campanules postée à Méribel.
Nouvelle Calédonie.
La salicaire < lat. salix, saule, ainsi appelée à cause de la ressemblance des feuilles à celles du saule (Littré).
Je ne connaissais pas cette fleur trouvée en bordure de Meuse. Après quelques recherches, il s'avère qu'elle est fréquente dans les milieux humides (fossés, rives, marais etc...).
Une bonne surprise cette enveloppe imprimée venant de la Guadeloupe avec le pont du Gard qui semble relier l'île à la métropole.
L'aubépine dessinée l'automne dernier est partie jusqu'à Ushuaïa (la ciudad mas austral del mundo -c'est écrit sur le tampon-) pour revenir jusqu'ici un peu fatiguée du voyage. On le serait à moins.
Ce cinorrhodon, fruit de l'églantier, appelé plus communément "gratte-cul" a été envoyé depuis Santiago (Chili). Il a subi quelques dégâts des eaux.
Grand merci à celles et ceux qui ont bien voulu s'encombrer de ces enveloppes et fait l'effort de me les retourner.
C'est bien, sinon j'aimerai bien savoir la photo, je pense que celle on l'on voit la rivière couler avec les pierres. Comme il y en a trois, tu peux me dire ?
RépondreSupprimerJe t'ai répondu sur ton blog.
SupprimerChouette ! la jolie collection fleurie s'enrichit. Bravo pour la réalisation de ces belles enveloppes, les aquarelles sont superbes. J'adore. Elles circulent et reviennent, c'est sympa, que du bonheur !.
RépondreSupprimerQue du bonheur, tu l'as dit. La collection s'étoffe lentement.
Supprimerquelle bonne idée et quelles jolies enveloppes!!!et il y en a qui ont beaucoup voyagé!L'églantier et l'aubépine ont un rendu que j'aime particulièrement!
RépondreSupprimerEn ce qui concerne Apollinaire, j'ai lu jadis les 11 000 verges...ce n'est pas ce que je préfère chez lui....
Je n'ai pas lu cet ouvrage mais pour en revenir à ton blog, j'adore les polissonneries et déplore une époque prude qui rappelle l'ère victorienne où quelques minorités, parce qu'elles crient fort, sont les seules à se faire entendre. Comme, par exemple, cette nouvelle orthographe qui essaie de s'installer sous prétexte que l'actuelle est discriminante pour les femmes, se faisant ainsi le porte-parole d'icelles sans même leur avoir demandé leur avis. Je pense que leurs revendications se situent à un autre niveau que celui d'un changement des règles d'accords et de grammaire. Pourquoi ne pas vouloir changer les règles des jeux de cartes où les rois l'emportent sur les dames ? C'est navrant.
SupprimerLoovely blog you have here
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