"- C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
- C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit p..."
Ne jamais oublier de faire des gammes. Quelques minutes par-ci, quelques instants par-là à essayer de rendre directement au pinceau ce qui se présente.
Je n'aime pas l'expression "temps perdu", je lui préfère "temps consacré".
Je n'aime pas l'expression "échec", je lui préfère "hypothèse non vérifiée".
J'aime ton texte plein de sagesse . Tu as raison , ne pas oublier d ' exercer son œil et son pinceau à chaque occasion qui se présente.
RépondreSupprimerJe suis tout à fait d'accord avec tes deux dernières phrases , le temps perdu n'existe pas , il a toujours quelque chose de positif .Le mot " échec " a une connotation de définitif qui me met mal à l'aise . Pour moi c'est un essai qu'il faut recommencer.
Merci pour cette rose spontanée.
Belle journée Marcel
Il suffit parfois de pousser le curseur à droite ou à gauche pour que les problèmes changent de couleur et d'intensité.
SupprimerJe parle de temps perdu quand je reste au lit. Ce qui ne m'arrive pas d'ailleurs. Tous les jours je m'impose une tâche afin que le soir je puisse me dire, ma journée à été bien remplie!
RépondreSupprimerSuperbe ce bouton de rose Marcel
Bonne soirée
Voilà une sage décision pour avoir des journées bien remplies. Je fuis les gens qui s'ennuient.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerah faire les gammes...je me rappelle que tu m'avais dit quelque chose du même genre quand je me plaignais de ne pas savoir VOIR et retranscrire....cette année j'apprends une technique, voila....j'en reparlerai dans une semaine après une porte ouverte le 19....(j'aime ouvrir les portes ouvertes!)
RépondreSupprimermourir d'ennui, ou peu s'en fallait, souvenirs de petite enfance, depuis jamais plus!trop d e choses à faire, découvrir, apprendre, regarder, entendre ,expérimenter pour laisser jamais plus l'ennui diriger ma vie!
par contre besoin d'être structurée dans mes apprentissages, j'ai vu çà cette année où je n'ai suivi aucun cours de rien....
quant à cette rose, elle est encore splendide,une promesse à l'aube de l'automne....
Les gammes, ah, les gammes ! Il n'y a que ça de vrai. Ferdinand Pouillon in <> le dit avec beaucoup de concision : "Tout artiste, a, dans sa mine de plomb, son pinceau, son burin, non seulement ce qui rattache son geste à son esprit, mais à sa mémoire. Le mouvement qui paraît spontané est vieux de dix ans ! de trente ans ! Dans l'art tout est connaissance, labeur, patience, et ce qui peut surgir en un instant a mis des années à cheminer." S'il m'arrive de croire à quelque chose, c'est bien à ça. Tout le reste n'est que palabres vides et gluantes, cautères et autres artifices pour essayer d'enfumer et justifier une vacuité béante comme un trou noir. Je pense à cette new-langue artistico-puante et aussi à certains discours politiques. Belle soirée Mam'
SupprimerLe livre de Pouillon s'appelle : Les pierres sauvages. Je ne sais pas pourquoi l'intitulé a été supprimé dans mon texte ci-dessus.
Supprimerouiiiii Marcel , je le connais ce livre, sur le travail des moines bâtisseurs cisterciens,un des livres que je n'ai pas donnés et que je garde précieusement ....je ne peux m' empêcher de rire en te lisant, je vois très bien de quoi tu parles....il me semble....et d'ailleurs je crois que l'article que je viens juste d e mettre en ligne n'est vraiment pas pour toi!
SupprimerJe viens de répondre à ton article. Ce n'est pas l'oeuvre elle-même qui me dérange car il est toujours possible de hausser les épaules, de s'en aller ou de rester neutre voire d'admirer.... Ce qui me laisse pantois, ce sont les circonlocutions et circonvolutions linguistiques, bourrelets verbaux, sinueux et adipeux, métalangue obscure empesée d'un pseudo-intellectualisme gluant pour essayer de faire passer des concepts que ces artistes n'arrivent pas à verbaliser soit parce qu'ils ne disposent pas des outils nécessaires pour le faire, soit parce qu'ils savent que c'est creux et qu'ils font de l'habillage. Boileau l'écrivait déjà dans son art poétique : "Ce qui se conçoit bien...." Je ne peux pas résister à te citer Montaigne : ... "Savez-vous à mon avis que c'est que cela ? Ce sont des ombrages qui leur viennent de quelques conceptions informes, qu'ils ne peuvent démêler et éclaircir au-dedans, ni par conséquent produire au-dehors : ils ne s'entendent pas encore eux-mêmes. Et voyez-les un peu bégayer sur le point de l'enfanter, vous jugez que leur travail n'est point à l'accouchement, mais à la conception, et qu'ils ne font que lécher cette matière imparfaite.... (De l'institution des enfants. Chapitre XXVI)
Supprimerje suis d'accord avec toi car on ne perds jamais son temps lorsqu'on crée ,oui on donne du temps et on se consacre à son activité...
RépondreSupprimerMerci pour cette douce et sage remarque.
SupprimerTout en douceur
RépondreSupprimerSympa, merci Christian.
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